A mon chemin négoci/ée
Comme son
rire étaient les fleurs
Comme les fleurs la parfumaient
Autant,
autant que je l'aimais
Parmi mes ombres atrophiées !
Les
bleus des jours nous apprivoisent
Les bleus des jours ne sont
regret
Et les regrets de l'Ourcque à l'Oise
Ainsi même
l'Auvergne en lieu
Ne savent comme l'on prie Dieu
Lorsque, de
tout, l'on est abstrait !
Je te chante, je te regarde
Et
devant tes yeux, Mon Amour,
L'ivresse évoque par mégarde
Où
nous fûmes sur l'horizon
Le doux des beautés des saisons
Que
fuit le temps de nos parcours !
A tant t'aimer j'ai pris
la vie
Comme accrochée à ma guitare
Une chanson que l'on
oublie...
« Sur cette pierre que l'on jette
Commentaires
merci de tes compliments, Patrick....
A toi aussi bon week end. Amitiés. Alain
Bonsoir Alain ,
Un très joli texte pour Marie , que j'ai eu le plaisir , je te souhaite un excellent week-end
Amicalement